En route pour le milliard : Documentaire (RDC / France / Belgique)

En route pour le milliard


GenreDocumentaire
Réalisateur : Dieudo Hamadi
Producteur : Hélène Ballis
Société de production : Kiripifilms - Les films de l’Oeil Sauvage - Néon Rouge
Pays de production : RDC / France / Belgique
Langue : Swahili
Sous titres : Anglais
Durée de la copie soumise :90 min
Durée estimée du film ! 90 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Editing - Sound editing - Grading - Mix
Fonds reçus : 300.385 €
Budget total du film : 395.335 €
Montant demandé pour compléter le budget : 95.000 €
Partenaires recherchés : TV 5 – RTBF - A +
Date estimée de livraison de film : janvier 2020
Contact : heleneballis@yahoo.fr

Synopsis :
Du 5 au 10 juin 2000, la ville de Kisangani, en République Démocratique du Congo, fut le théâtre d’affrontements à l’arme lourde entre deux groupes rebelles congolais. L’un était allié à l’Ouganda et l’autre au Rwanda. Aujourd’hui, des membres de l’association des victimes de cette guerre, las de se battre en vain pour obtenir réparation, ont décidé de changer de stratégie. Ils veulent aller à Kinshasa pour se faire entendre dans la capitale où siègent les institutions.

 

Note d'intention :
A travers ce film, je veux en quelque sorte ériger un édifice à la mémoire des milliers de disparus de la guerre des Six jours. Je veux filmer les survivants, dans leur lutte pour la survie, leur combat pour des lendemains meilleurs. Je veux qu’on les regardent tomber, qu’on les voient se relever, qu’on les suivent dans leurs délires, leur naïveté, leur résilience, leurs peines, leurs contradictions, leur humanité. Je veux montrer la violence de cette réalité méconnue, ignorée, oubliée.

 

En route pour le milliard

Dieudo Hamadi (Réalisateur )
Dieudo Hamadi est né à Kisangani (République Démocratique du Congo) en 1984. Il étudie la biomédecine avant de se tourner vers la réalisation de films documentaires. Dieudo Hamadi a réalisé deux court-métrages Dames en attente et Tolérance zéro (2010) et quatre long métrages : Atalaku (2013), Examen d’Etat (2014), Maman Colonelle (2017) et Kinshasa Makambo (2018). En 2015, Dieudo crée Kiripifilms, sa propre société de production. En 2019, le centre d’études filmiques de l’Université d’Harvard lui a attribué la bourse McMillan-Steewart .


Hélène Ballis (Producteur )
Géographe de formation, Hélène Ballis a travaillé pendant 3 ans au sein de Cinédoc Films, société de production de films documentaires basée à Annecy. Elle a rejoint Kiripifilms en 2015 où elle travaille désormais aux côtés de Dieudo Hamadi en tant que productrice et monteuse.

Hélène Ballis
 

FARITRA : Documentaire (Madagascar)

FARITRA


GenreDocumentaire
Réalisateur : Tovoniaina Rasoanaivo - Luck Razanajaona
Producteur : Luck Razanajaona
Société de production : Africamadavibe Production
Pays de production : Madagascar
Langue : Malgache
Sous titres : Français / Anglais
Durée de la copie soumise :63 min
Durée estimée du film ! 80 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Post-production – Image - Sound - Color grade - DCP
Fonds reçus : Fond propres Africamadavibe (Industries) 20000 Euros - Prix Cape town international film festival Work in progress Hollard insurance 2018 - 50000 Rands - Prix Amiens international film festival Rencontres professionnels (services) 3000 Euros - Fond locale privés Madagascar 4750 Euros
Budget total du film : 86875 €
Montant demandé pour compléter le budget : 46430€
Partenaires recherchés : Coproducers, salers, distributors, TV Chanels (All Countries/ mainly Germany, France Netherlands , Norway, Danemark)
Date estimée de livraison de film : Juillet 2020
Contact : razanajaona@yahoo.com

Synopsis :
Faritra est une immersion dans la vie quotidienne des jeunes mineurs incarcérés dans la prison Centrale d’Antananarivo. A travers des portraits, on découvre les désirs de s’exprimer de ces jeunes, soutenus par une caméra en leur possession et les bribes d’histoire de vie qu'ils racontent. Une envie de respiration et de liberté illumine les images tournées par eux même et les réalisateurs qui les accompagnent.

 

Note d'intention :
"Faritra" est une poésie urbaine où la misère humaine côtoie un monde d'espoir et d'avenir pour la jeunesse malgache. Dans la lignée des films de Weiseman, Rouch et Depardon, nous, Tovoniaina Rasoanaivo et Luck Razanajaona, voulions montrer l'humanité dans sa sincérité et capter ces moments de vie uniques de cinéma.

 

FARITRA

Tovoniaina Rasoanaivo - Luck Razanajaona (Réalisateur )
Tovoniaina Rasoanaivo a fait ses études en réalisation cinématographique à l’Ecole Supérieur des Arts Visuels de Marrakech en 2010 après avoir participé à l’université de la Fémis, Cinéaste au talents multiples entre DOP ,son et montage il a à son actif 2 courts métrages (Oroboros réalisé en 2013 et Déambulation réalisé en 2017) et un long métrage documentaire « Tshirt Man » sélectionné au final cut Venise 2014.


Luck Razanajaona (Producteur )
Luck Razanajaona est un cinéaste diplômé de l’Ecole Supérieure des Arts visuels de Marrakech en 2011.C’est un cinéaste multi primé pour ses courts métrages du FESPACO au JCC CARTHAGE en passant par Cologne, Madagascar et le festival international du Court métrage de Clermont Ferrand. Ancien de la Berlinale/ Durban Talent, il a été sélectionné dans le Pavillon des cinémas du Monde à Cannes, a effectué une résidence au Moulin d’Andé (Normandie) et il est la première promotion de la Residence REALNESS en Afrique du Sud Il prépare actuellement son premier long métrage Fiction « DISCO AFRIKA » qui était un projet primé au STEP FUNBD LUXOR, au DURBAN FILMMART et à Cinémart ROTTERDAM récemment

Luck Razanajaona
 

GARDERIE NOCTURNE : Documentaire (Burkina Faso - France)

GARDERIE NOCTURNE


GenreDocumentaire
Réalisateur : MOUMOUNI SANOU
Producteur : BERNI GOLDBLAT
Société de production : Les Films Du Djabadjah – Vrai-Vrai Films
Pays de production : Burkina Faso - France
Langue : Dioula
Sous titres : Français / Anglais
Durée de la copie soumise :47 min
Durée estimée du film ! 70 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Editing, Color grade, Mixing
Fonds reçus : 77 000 €
Budget total du film : 115 000 €
Montant demandé pour compléter le budget : 38 000 €
Partenaires recherchés : Distributors - Broadcasters - International Saler
Date estimée de livraison de film : mars 2020
Contact : berni.goldblat@cinomade.org

Synopsis :
Dans un quartier populaire de Bobo-Dioulasso, chaque soir, Madame Coda accueille chez elle les enfants des prostituées. Les jeunes femmes déambulent ensuite au « Black », une ruelle très animée du centre-ville, jusqu’au lever du jour où elles viennent récupérer leurs enfants.Mais Madame Coda, qui a plus de 80 ans, commence à être fatiguée.

 

Note d'intention :
Dans mon pays, comme dans bien d’autres, pour blesser quelqu’un, on insulte sa mère. J’aimerais que les spectateurs de mon film y repensent en voyant ces jeunes mères, Odile, Fatim et Adams s’occuper au mieux de leurs enfants et en voyant la vieille mère, Madame Coda, accueillir ces vies que les hommes ont laissées.

 

GARDERIE NOCTURNE

MOUMOUNI SANOU (Réalisateur )
Né en 1987 fait partie de la nouvelle génération de cinéastes documentaires du Burkina Faso. Il a travaillé à l’image sur plusieurs plateaux de films depuis 8 ans. Il a monté et réalisé des courts et des moyens métrages et il est aussi engagé dans la renaissance du Ciné Guimbi à Bobo-Dioulasso. En 2014 il réalise un documentaire de 52min L’esprit des chasseurs, une coproduction Burkina Faso-France. Garderie Nocturne est son premier long-métrage.


BERNI GOLDBLAT (Producteur )
De nationalités burkinabè et suisse, Berni Goldblat est réalisateur et producteur. Il initie et porte des projets comme celui de la réhabilitation du Ciné Guimbi, oeuvrant ainsi activement pour le cinéma africain. Depuis 2007, Berni est membre de l’Académie des Africa Movie Academy Awards (AMAA) dont il a présidé le jury en 2017. Depuis 2018 il est également membre de la European Fim Academy (EFA). En 2017 il signe WALLAY, long-métrage de fiction qui a sa première mondiale à Berlin puis 250 sélections en festivals ,17 prix et de nombreuses sorties en salles de part le Monde.

BERNI GOLDBLAT
 

La terre ne se meut pas : Documentaire (Tunisie - Italie - France - Qatar)

La terre ne se meut pas


GenreDocumentaire
Réalisateur : Yosr GASMI
Producteur : Mauro MAZZOCCHI
Société de production : L’Argent
Pays de production : Tunisie - Italie - France - Qatar
Langue : Arabic – Frensh – Italian – English - Gambian
Sous titres : Anglais
Durée de la copie soumise :90 min
Durée estimée du film ! 180 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Editing – Sound mixing – Color grade – subtitles – DCP
Fonds reçus : Grant DFI
Budget total du film : 80 000 €
Montant demandé pour compléter le budget : 25 000 €
Partenaires recherchés : Distributors - Post-production assistance fund - festivals
Date estimée de livraison de film : mars 2020
Contact : yosrgasmi@gmail.com / mauro.mazzocchi1986@libero.it

Synopsis :
Des hommes venus d'ailleurs demandent asile à l'Italie, à l'Europe. Les voici dans les Alpes, au pied des montagnes enneigées attendant depuis des années dans un centre d'accueil momentané, un ancien hôtel. Cette histoire est celle des corps migrants. Elle évoque le quotidien, ses silences et ses impressions ; elle traite d'exil et d'espace tout en aspirant à extraire du réel l'image d'une terre et de son invisible mouvement.

 

Note d'intention :
Le documentaire amorce une réflexion sur le traitement politique et éthique de la migration et de l'accueil des migrants en Italie et en Europe. La caméra suit des hommes pris dans un système de contrôle qui délimite les corps et leurs énoncés; elle tente de restituer la durée de l’attente interminable dans laquelle ils sont pris tout en interrogeant la présence de cette même caméra dans un lieu de surveillance. L’enjeu corollaire devient le questionnement de cet œil regardant. Le film, enfin, est une ode aux voyageurs illégaux, aux nomades, aux Sisyphes modernes qui incorporent ce qui est nié par les gouvernements, à savoir l'essence biologique de tout vivant : le mouvement.

 

La terre ne se meut pas

Yosr GASMI (Réalisateur )
Yosr Gasmi est une cinéaste tunisienne diplômée en littérature française de Paris IV et de l’ENS de Tunis. Écrivaine, actrice et réalisatrice, elle s'intéresse à l'image dans ses diverses expressions artistiques et scripturales. En 2014, elle entame avec son compagnon Mauro Mazzocchi son premier projet cinématographique «Θέλω, θέλω μανῆναι -L.E.N.Z.- (Fiction, 379’, Tunisie-Italie,2016). Les deux réalisateurs qui écrivent et produisent en binôme se considèrent comme une multiplicité technique et expressive sans fragmentation ni hiérarchie. La terre ne se meut pas est leur second film.


Mauro MAZZOCCHI (Producteur )
Mauro Mazzocchi, né en 1986 en Italie, est diplômé en philosophie et en théâtre. Réalisateur et producteur, il collabore en 2014 avec Yosr Gasmi à l’écriture, à la réalisation et à la production de leur premier long-métrage, «Θέλω, θέλω μανῆναι -L.E.N.Z.-». Ils entament en 2018 leur second film, La terre ne se meut pas, un documentaire qu’ils écrivent, réalisent et produisent ensemble. Parallèlement, Mauro Mazzocchi travaille depuis 2017 avec L’Argent, société de production française (Chantier A de Tarek Sami et Lucie Dèche; Le reflux de Guillaume Bordier).

Mauro MAZZOCCHI
 

Le chemin de Sylvana et Mohamad : Documentaire (Liban - France)

Le chemin de Sylvana et Mohamad


GenreDocumentaire
Réalisateur : Maher Abi Samra
Producteur : Diala Kachmar
Société de production : ARTRIP production
Pays de production : Liban - France
Langue : Arabe
Sous titres : Français
Durée de la copie soumise :45 min
Durée estimée du film ! 80 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : 3 days of shooting in Beirut - Collage of sequences - Sound editing - Sound mixing – Color grading
Fonds reçus : 96 200 $
Budget total du film : 201 500 $
Montant demandé pour compléter le budget : 105 300 $
Partenaires recherchés : Sales agent
Date estimée de livraison de film : Avril 2020
Contact : diala@artrip.me

Synopsis :
Sylvana et Mohammad cheminent ensemble. Elle est en chaise roulante, il est non-voyant. Elle vit au Liban, il fait ses études à New York. Ils forment un duo inséparable, uni par une révolte et des blessures communes : celles d’une enfance isolée dans les institutions spécialisées pour handicapés, d’une vie qu’ils ont rêvée ordinaire et qui s’est révélée injuste et pleine d’obstacles. On les retrouve, libres et forts, à chacune de leurs retrouvailles, à Beyrouth ou à Paris.

 

Note d'intention :
J’ai longtemps cru que les non-voyants voyaient du noir. J’ai longtemps cru que les personnes handicapées ont besoin d’une prise en charge spécifique, qui suppose qu’ils soient séparés de nous. J’ai longtemps perçu les handicapés comme des victimes ou des héros. L’Autre, celui qui est différent de moi, comment l’accepter dans sa différence, sans l’exclure, ni vouloir l’assimiler ? Comment le percevoir comme il est, et non comme il est représenté ? Comment le définir sans le réduire à son handicap ? Ces questions m’accompagnent depuis des années. Elles sont à l’origine de mon désir de faire ce film.

 

Le chemin de Sylvana et Mohamad

Maher Abi Samra (Réalisateur )
Maher Abi Samra a écrit et réalisé plusieurs documentaires, sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux : Chacun sa bonne (2016, 67’), primé à la Berlinale, Nous étions communistes (2010, 84’), sélectionné à la Mostra de Venise, primé à Abu Dhabi Film Festival (meilleur documentaire arabe), Juste une odeur (2007, 10’), grand prix du court-métrage international à Dok Leipzig, Rond-Point Chatila (2004, 52’), prix Ulysse au festival international de cinéma méditerranéen de Montpellier, Femmes du Hezbollah (2000,50’), diffusé sur Arte.


Diala Kachmar (Producteur )
Diala est une productrice et cinéaste libanaise. Elle gère la société de production ARTRIP Production à Beyrouth. En 2013, elle a réalisé son premier long documentaire «Guardians of Time Lost». En 2015, Diala a produit «The Road », un long métrage de Rana Salem. En 2017, Elle a produit «Martyr», un long métrage de Mazen Khaled. Et entre 2015-2019, Diala a produit 4 saisons de la série télévisée libanaise «Beirut waw», écrite et réalisée par Fadi Nassereddine. Actuellement elle produit «North », un long métrage de Selim Mourad Et « Le chemin de Sylvana Et Mohammad » un long documentaire de Maher Abi Samra

Diala Kachmar
 

Souad : Fiction (Égypte)

Souad


GenreFiction
Réalisateur : Ayten Amin
Producteur : Sameh Awad
Société de production : Nomadis images - Leaf Studios - Film Clinic
Pays de production : Égypte
Langue : Arabe
Sous titres : Anglais
Durée de la copie soumise :40 min
Durée estimée du film ! 110 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Post-Production (Editing, ADR, Sound Edit, Sound Design, Sound Mix, Music Rights, VFX, Coloring, ENG & FRN Subtitles, Titles & Credits, Digital Transfers incl, DCP).
Fonds reçus : CineGouna (Gouna Film Festival) -Organisation International de la Francophonie (OIF)
Budget total du film : 339 087 $
Montant demandé pour compléter le budget : 94 699 $
Partenaires recherchés : Frensh Co-Producer - World Sales Agent
Date estimée de livraison de film : Avril 2020
Contact : sam@vividreels.com / Saadthefilm@gmail.com

Synopsis :
Souad, 19 ans, vit avec sa famille conservatrice et sa petite sœur Rabeb dans la ville de Zagazig. Une série de petits incidents ont poussé Souad à se suicider. Le silence absorbe tout dans la famille. Rabab regrette toutes les justifications de la mort de sa soeur et est déterminée à comprendre la cause réelle derrière le désespoir de cette dernière. Elle découvre qu’Ahmed est la figure centrale de la vie virtuelle de Souad, alors elle voyage pour lui rendre visite en Alexandrie.

 

Note d'intention :
I aspire to make a realistic cinema that reveals the harsh social dynamics that would lead to the suicide of a young girl. The film relies entirely on non-professional actresses and actors, in order to give the picture the highest possible level of originality. The actors all contributed to the discovery of story and to the characters’ feeling in a unique way, fostering a higher level of realism by improvising new details into the dialogue inspired from their own personal experiences.

 

Souad

Ayten Amin (Réalisateur )
Le premier court-métrage d'Ayten, " Her Man ", a remporté plusieurs prix, après avoir été projeté à Clermont-Ferrand. " Villa 69 " a été projeté pour la première fois en 2013 et a remporté le Prix spécial du Jury du cinéma arabe au Festival du film d'Abu Dhabi, un hommage spécial à Malmö, le Cairo Film Connection Award, le Hubert Bals Award à Durban. "Villa 69 " a été sélectionné dans les cinémas pavillon du monde à Cannes. Ayten a coréalisé le documentaire " Tahrir 2011 ", dont la première a eu lieu à Venise, sélectionné à Toronto, et a été nominé pour le meilleur document au cinéma pour la paix au Festival de Berlin.


Sameh Awad (Producteur )
Sameh Awad est un producteur indépendant qui se consacre à l'exploration de nouveaux moyens d'investissements et de partenariats dans les films arabes indépendants. Au cours des 10 dernières années, Sameh a travaillé comme coscénariste, assistant réalisateur et producteur associé pour des documentaires et longs métrages primés tels que " Basra ", et " Born on the 25th of January " réalisés par Ahmed Rashwan.

Sameh Awad
 

The Letter : Documentaire (Kenya)

The Letter


GenreDocumentaire
Réalisateur : Maia Lekow
Producteur : Chris King
Société de production : Circle and Square Productions Limited
Pays de production : Kenya
Langue : Kiswahili - English - Kigiriama
Sous titres : Anglais
Durée de la copie soumise :82 min
Durée estimée du film ! 82 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Color grade - Sound mix – Design - Score
Fonds reçus : 142 478 $
Budget total du film : 375 230 $
Montant demandé pour compléter le budget : 81 600 $
Partenaires recherchés : Release – Distribution - Sales Agents.
Date estimée de livraison de film : November 2019
Contact : maia.vonlekow@gmail.com /circleandsquare@gmail.com

Synopsis :
Sur la côte kenyane, un mélange frénétique de consumérisme et de christianisme retourne des centaines de familles contre leurs aînés, les présentant comme des sorcières pour leur voler leurs terres. Nyanya, 93 ans, est accusée par ses beaux-fils, tandis que ses filles de bonne volonté tentent de la protéger. Ce conflit dangereux est vu à travers les yeux de son petit-fils Karisa, qui rentre de la ville pour savoir ce qui se passe, et qui est forcé de choisir son camp.

 

Note d'intention :
Mari et femme, travaillant en tant que co-réalisateurs, avec Chris à la caméra et Maia au son, ce qui a fait de The Letter un voyage profondément personnel pour tous les deux. Maia est née et a grandi à Nairobi, et avait peu de liens avec la patrie de son père, où se déroule notre film. Chris, originaire d'Australie, mais vivant au Kenya depuis plus de 12 ans, a trouvé un grand réconfort dans la réalisation de ce film. L'approche de Maia dans l'écriture d'une partition originale pour le film, est venue d'une envie d'articuler la complexité émotionnelle de la situation des grands-mères.

 

The Letter

Maia Lekow (Réalisateur )
Maia Lekow est une musicienne et cinéaste kenyane. Son premier film, The Letter, est présenté pour la première fois à l'IDFA 2019 et a été soutenu par le IDFA Bertha Fund, Docubox, Hot Docs Blue Ice, Sundance DFP et Chicken& Egg Pictures. Maia a été nommée ambassadrice de bonne volonté du HCR en 2013 et a reçu un African Movie Academy Award pour sa chanson "UkoWapi" en 2009. Actuellement sur les scènes internationales avec son groupe, Maia & The Big Sky, Maia a également composé une musique originale d'une beauté envoûtante pour The Letter.


Chris King (Producteur )
Chris King est un cinéaste primé, d’origine australienne, il travaille au Kenya depuis 13 ans, ayant fondé Circle & Square Productions avec son épouse Maia à Nairobi en 2009. La même année, il a reçu le Prix de l'Académie du Cinéma Africain pour son travail de montage. Son premier film The Letter est présenté pour la première fois à l'FIFDA 2019 et a été soutenu par IDFA Bertha Fund, Docubox, Hot Docs Blue Ice, Sundance DFP et Chicken& Egg Pictures.

Chris King
 

We are from there : Documentaire (Liban - France)

We are from there


GenreDocumentaire
Réalisateur : Wissam Tanios
Producteur : Christian Eid
Société de production : Abbout Productions
Pays de production : Liban - France
Langue : Arabe
Sous titres : Anglais
Durée de la copie soumise :85 min
Durée estimée du film ! 85 min
Travaux nécessaires pour terminer le film : Picture lock - Sound editing - design and mix – Music – Credits - Deliverables
Fonds reçus : Al Jazeera Documentary - Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) - Arab Fund for Arts and Culture - Lebanese Ministry of Culture - Inkind services (Grading and Mix) from Beirut Cinema Platform
Budget total du film : 176 648 €
Montant demandé pour compléter le budget : 30 000 €
Partenaires recherchés : Festivals, distributors
Date estimée de livraison de film : janvier 2020
Contact : christian@abboutproductions.com

Synopsis :
Jamil et Milad sont deux frères âgés d'une vingtaine d'années aux personnalités contrastées. Alors que la guerre en Syrie s'intensifie, ils décident tous deux de fuir illégalement en Europe, mais séparément. Leur cousin le plus proche, Wissam, filme sur 5 ans les deux odyssées qui rappellent des souvenirs d'enfance, questionnent en chemin le vrai sens du "chez-soi" et explore la capacité humaine à faire face au changement, aussi radical qu'il soit.

 

Note d'intention :
Depuis que j'ai obtenu mon diplôme universitaire, l'idée de quitter le Liban et de partir en Europe m’a toujours hantée l’esprit, mais je n'ai jamais eu le courage de le faire. Quand mes cousins ont décidé de quitter leur pays et de traverser illégalement vers Europe. Cela m’a secoué et j'ai ressenti le besoin d'archiver leur voyage. Le film explore la (re)construction de la vie et de l'identité et dessine avec humilité et admiration la capacité humaine à faire face au changement.

 

We are from there

Wissam Tanios (Réalisateur )
Wissam Tanios a étudié le cinéma à « l'IESAV » de Beyrouth. Son court documentaire Aftermath a remporté le prix du meilleur documentaire au Festival du film libanais en 2012. Son deuxième court-métrage a participé à de nombreux festivals de cinéma dans le monde entier et a remporté le prix du meilleur court métrage narratif aux 2nd Annual Alwan Awards, à New York. We are from there est son premier long métrage avec lequel il a participé à la résidence de six semaines de Global Media Makers à Los Angeles en 2018.


Christian Eid (Producteur )
Christian Eid est titulaire d'un baccalauréat en cinéma de l'USEK-Liban et d'un master en communication numérique et gestion de projet de Paris 8 - France. Depuis 2010, il travaille chez Abbout Productions à titre de superviseur de production et de producteur associé. Abbout Productions produit des longs métrages et des documentaires exprimant l'identité de la région. Depuis 1998, l'entreprise a produit des films primés tels que I Want to See, The Valley, Tramontane, Amal, All This Victory et 1982, dont We are from there est son premier film comme producteur.

Christian Eid