Ahmed Harzallah fait partie de la génération fondatrice de la Télévision Tunisienne, ainsi que des fondateurs du système éducatif pour les adultes,
à travers des cours télévisés. Il a réalisé et produit plusieurs émissions culturelles et documentaires.
Ahmed Harzallah fait également partie des partisans du cinéma amateur et des ciné-clubs.
Il est parmi les fondateurs du Festival International du Film.
Amateur de Kelibia (FIFAK) en 1964. Il est considéré comme faisant partie des principaux militants de l’Association des jeunes cinéastes tunisiens. Il était connu pour ses nombreuses contributions à la réalisation et à la production de nombreux projets culturels, documentaires et étrangers tournés en Tunisie. En 1963, il réalise le film "El-barr El Araby El Assil", un documentaire intitulé "Hafir al-Saff à Nabeul", un documentaire sur le village de Tazerka et le film "Hajj à La Mecque" avec le réalisateur tunisien Hamadi El-Seid. En 1968, il a reçu un prix important du Japon pour sa sortie de trois programmes de films éducatifs.
Attiyat Al Abnoudi est une cinéaste et scénariste égyptienne. Née en 1939 dans un village du delta du Nil,
elle a étudié le droit puis le cinéma au Caire.
Par la suite, elle a étudié à The International Film and Télévision, en Grande Bretagne.
Elle s'est spécialisée dans le documentaire et ses films s'intéressent particulièrement à la société égyptienne et aux problèmes des femmes.
En 1971, sa première œuvre Horse of Mud a gagné le Grand Prix du Festival des Cinéastes Amateurs de Kélibia et plusieurs autres prix.
En 1985, elle a été sélectionnée parmi 6 cinéastes internationaux pour réaliser un film par le World Conference on Woman in Nairobi.
A l'échelle internationale, elle a reçu le Best Educational Film pour Permissible Dreams au Festival de Mannheim en Allemagne (1983)
et le Best Joint Production pour "Rhythm of Life" en Espagne (1990).
Sa dernière œuvre est le documentaire "Made in Egypt" (2006).
Farouk Beloufa, réalisateur algérien, a étudié le cinéma à PINC (Algérie) puis à l'IDHEC à Paris et a suivi des cours
à l'EPHE de Paris sous la direction de Roland Barthes. Il a présenté une thèse sur la théorie du Cinéma.
Sa première œuvre commande institutionnelle "Insurrectionnelle", un montage d'archives sur la guerre d'Algérie,
est refusée puis diffusée après avoir été remaniée sans son accord.
Nahla est son unique long-métrage.
Jameel Rateb est né en 1926 à Alexandrie. Il débute en Egypte avec le film "Je suis l'Orient" (1946) suivent ensuite plus
de 70 films égyptiens et 7 français.
Il a également participé au célèbre film américain "Lawrence d'Arabie".
On le voit également dans trois réalisations tunisiennes, notamment dans "Chichkhan" de Mahmoud Ben Mahmoud et Fadhel Ja'aibi.
Il a été l'invité d'honneur de la 27éme session des JCC 2016.
Né en 1954 et décédé en 2018 au Burkina Faso, il est diplômé en cinéma à l'INAFEC (Ouagadougou)
et à l'IDHEC Paris en 1985.
Il a réalisé plusieurs courts métrages documentaires comme Les Ecuelles (1983),
Ouagadougou, Ouaga deux roues (1985). Son premier long métrage, Le Choix (1986).
Né le 16 mars 1934 à Soliman, autodidacte, il produit et réalise au début des années soixante plusieurs courts,
moyens et longs métrages dans le cadre de son association L’Essor par le Théâtre et le Cinéma,
puis de sa société Les Films Omar Khlifi.
En 1966, il réalise le premier long métrage de fiction tunisien, El Fajr / L’Aube.
Réalisateur tunisien né à Mareth. Son court métrage Mon village, un village parmi tant d’autres, est lauréat du Tanit d’or aux JCC 1972.
Il a écrit et réalisé plusieurs films L’ombre de la terre, Layla ma raison, Noce de Lune, La danse du vent, L’enfant du soleil,
et La Rumeur de l’eau.
JAMIL RATEB - Tunisie (1991)
FAROUK BOULOUFA - Algérie (1979)
OMAR KHLIFI - Tunisie (1974)
IDRISSA OUEDRAOGO - Burkina-Faso (1990)
TAIEB LOUHICHI - Tunisie (1986)