Le vendredi 9 novembre 2018, s'est tenue la cérémonie de la remise des prix parallèles à 15h30 au 5ème étage de l'Hotel Africa.
Le 1er Prix Carthage Ciné-Promesse 2018, section parallèle dédiée aux films d'écoles de la 29ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage,
décerné par TV5 Monde, a été attribué à AGONIE de Ghassen JERIBI, ISAMM (Tunisie).
Le 1er Prix Carthage Ciné-Promesse 2018, section parallèle dédiée aux films d'écoles de la 29ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage,
décerné par TV5 Monde, a été attribué à THAT LOVELY LIFE de Rami ALOUI (Algérie), ESAV Marrakech (Maroc).
Le 2ème Prix Carthage Ciné-Promesse 2018, section parallèle dédiée aux films d'écoles de la 29ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage,
décerné par l'Université de Carthage, a été attribué à MISFIT de Karanja NG'ENDO, étudiant indépendant (Kenya).
Le 3ème Prix Carthage Ciné-Promesse 2018, section parallèle dédiée aux films d'écoles de la 29ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage,
décerné par l'ESAC, a été attribué à LES ENFANTS DAR BOUIDAR de Isabelle Christiane KOURAOGO (Burkina Faso), ESAV Marrakech (Maroc).
Une mention spéciale Carthage Ciné-Promesse 2018, section parallèle aux films d'écoles de la 29ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage,
décerné par le Jury, est attribué à HIND'S CASE de Dina NAJI (Arabie Saoudite), New York Film Academy (Etats-Unis).
Le Prix FIPRESCI (La Fédération Internationale de Critique de Film) a été attribué à LE VOYAGE INACHEVE de Joud SAID, (Syrie).
Le Prix de la FACC (Prix de la critique Africaine Paulin Soumanou Vieyra) a été attribué à SOFIA de Meryem Ben M'BAREK (Maroc).
Le Prix De l'Union Générale Des Travailleurs Tunisiens a été attribué à Anis Saadi, monteur de SUBUTEX (Tunisie).
10h00 : PANEL Producteurs et Vendeurs à la Cité de la culture Salle des jeunes créateurs
08h00 : JIDC CNCI à la Cité de la culture Sophie El Gouli.
10h : Débat film à l'étoile du Nord.
10h00 : Carte blanche (projection + débat) à la Cité de la culture Salle des jeunes créateurs
14h30 : Produire au sud CNCI à la Cité de la culture Sophie El Gouli"
18h30 : Projection Centre Sidi Al Heni Kairouan
Ciné-avenue
Scène 1
Scène 2
Scène 3
20h00 : Défilé costume traditionnels Irakiens (Av.Bourguiba)
09h00 : “Produire au Sud” CNCI à la Cité de la culture salle “Sophie El Gouli".
09h00 : TAKMIL ( Projection des copies de travail + débat) Hôtel L'Africa salle Mont Kenya
09h30 : CHABAKA (Pitch live) à la Salle Zambèze 2 à l’Africa.
10h-13h : Débat film à l'étoile du Nord
12h00 : Projection Prison Messadine Sousse
11h00 : Master Class3/ Ibrahim El Ariss "Perspective du Cinéma Indépendant /
La Critique arabe aujourd'hui" Modérateur Nourddine Sail Cité de la culture Salle Tahar Chriaa
12h - 14h : Press Junket
14h00 : “Produire au Sud” CNCI à la Cité de la culture salle “Sophie El Gouli".
Ciné-avenue
Scène 1
Scène 2
Scène 3
14h30 : TAKMIL ( Présentation Dox Box des Invités) Hôtel L'Africa salle Mont Kenya
15h00 : Forum Latino Arabe CNCI à la Cité de la culture Sophie El Gouli"
18h30 : Closing Cocktail Chabaka + Takmil Africa Salle Zambèze 1
19h00 : Remise des prix carthage pro chabaka et takmil à l’hôtel Africa -5ème Etage
20h00: Troupe Indienne (Av.Bourguiba)
Salle de l’Opéra à la cité de la culture à partir de 20h30 : Séance Spéciale du film “Pardon” réalisé par feue Najwa
Slema ( en la présence de l'équipe artistique et technique du film et un orchestre jouera le dernier morceau du film )
Les master class s’articulent autour de trois axes : la musique, les
choix esthétiques et l’avenir du cinéma indépendant et de la critique en
Afrique et dans le Monde Arabe. A la fois diérentes et complémentaires,
ces trois questions sont au centre de la réflexion sur le cinéma qui fait
partie de l’ADN des Journées Cinématographiques de Carthage.
Les
leçons de cinéma de cette année seront assurées par trois personnalités
du monde cinématographique : Amine Bouhafa, Mahamat Saleh Haroun
et Ibrahim Al Ariss. La première masterclass tournera autour de la
musique de films et sera donnée par Amine Bouhafa, compositeur
franco-tunisien, détenteur du César de la meilleure musique de film pour
Timbuktu, de Abderahmane Sissako. La seconde sera administrée par
Mahamat Saleh Haroun et portera sur son parcours créatif et ses choix
esthétiques. Primé à Cannes et aux JCC Haroun est considéré comme le
porteur d’un projet cinématographique singulier.
La troisième
masterclass abordera le thème de la critique cinématographique en
Afrique et dans le Monde Arabe ainsi que l’avenir du cinéma indépendant
dans nos contrées. Cette troisième rencontre sera dirigée par Ibrahim Al
Ariss, critique, historien et journaliste libanais de renom. Autrefois
réservées aux étudiants, chercheurs ou professionnels, les masterclass
des JCC se veulent aujourd’hui un espace d’échange, de partage et de
transmission, accessibles à un public plus large.
Les masterclasses des Journées Cinématographiques de Carthage édition
2018 ont eu leur coup d’envoi aujourd’hui, Dimanche 4 Novembre 2018,
à 10h à la Salle Taher Cheriâ à la Cité de la Culture Mohamed V Tunis,
avec Amine Bouhafa autour de “ Musique de Film”.
Amine Bouhafa est un musicien et compositeur tunisien de musiques de
films. A trois ans, il commence les cours de piano et intègre à sept ans le
conservatoire de Tunis. Il commence à composer pour le cinéma à l'âge
de quinze ans. En 2014, il compose la musique de Timbuktu de
Abderahmane Sissako, film pour lequel il reçoit en 2015, le César pour la
meilleure musique originale. Amine a notamment collaboré avec
Kaouther Ben Hania, Souleymane Cissé et Assad Fouladkar.
On vous rappelle que les prochains Master Class se tiendront le :
06.11.2018 :
07.11.2018 :
08h30 : Forum Latino Arabe CNCI Salle Taher Chriaa
09h30 : CHABAKA (one on one) Salle Zambèze 2
09h30 : TAKMIL ( Projection des copies de travail + débat) Hôtel L'Africa salle Mont Kenya.
11h00 : Master Class2/ Mhamet Saleh Haroun "Itinéraire d'un Créatif" Modérateur Tarek Ben Chabaane Cité de la culture Salle Tahar Chriaa.
11h00-13h00 : Press Junket au Media Center rue Ibn Khaldoun. avec l’équipe du film “Le Voyage Inachevé”.
Ciné-avenue :
Scène 1
Scène 2
Scène 3
14h30 : Forum Latino Arab CNCI Cité de la culture Sophie El Gouli
19h00 : Projection Prison Mornag
20h00 : Ballet National du Sénégal (Av. Bourguiba)
21h00 : Cocktail Inde Hôtel Tunisia Palace
Pour les détenteurs de carte d'accréditation Media, vous avez la possibilités d'avoir 3 tickets par jour afin de couvrir les films et ce pour des horaires différents. Les tickets sont disponibles au Media Centre au 16 avenue Ibn Khaldoun 2ème étage. Vous aurez la possibilité de récupérer les billets J+1 (le jour j et le lendemain).
Les Cinémas Africains et Arabes ont connu une formidable explosion de créativité lors de la dernière décennie. Malheureusement l’éternel problème
du financement des films continue à être une épée de Damoclès sur la tête des producteurs et des réalisateurs des pays du Sud.
Ces industries du cinéma dépendent surtout des aides de l’Etat, mais en ces temps de crises, les finances publiques sont elles-mêmes sous pression
et les priorités n’incluent pas le cinéma.
Pourtant, au-delà des succès cinéphiliques, l’industrie du cinéma est génératrice d’emplois, de revenus et
de développement. Typiquement, dans des pays comme la Tunisie, grâce à diérentes aides, l’état finance les films à hauteur de 35% maximum.
Si les producteurs les plus aguerris et les plus « bancables » sont susamment ingénieux pour trouver des financements supplémentaires auprès de quelques
bailleurs de fond d’autres pays et d‘ONG, il n’en demeure pas moins que les fins de tournages sont très souvent diciles pour une industrie qui emploie
environ 5 000 personnes directement et 25 000 personnes indirectement.
Afin de garantir des ressources nouvelles et locales aux cinémas du Sud,
il est nécessaire d’impliquer les investisseurs privés, nationaux d’abord et internationaux par extension. Le seul encouragement est de leur orir
des incitatifs fiscaux créatifs qui les encouragent à investir dans la production cinématographique, non pas uniquement en tant que mécènes mais
en tant qu’investisseurs qui peuvent profiter d’un retour sur leur investissement.
Pour cela, il existe des exemples de réussite en matière de
fiscalité progressive, avec des retombées financières positives pour les producteurs, les investisseurs et même les états dont les recettes
fiscales augmenteront à terme par le simple fait de la multiplication des tournages cinématographiques. Les Journées Cinématographiques de Carthage,
par leur plateforme professionnelle Carthage Pro, organisera le 5 Novembre 2018, une conférence internationale intitulée
« Vers de nouvelles formes de financement du Cinéma : Le Tax Shelter ».
Le Tax Shelter est un mécanisme fiscal qui ore des crédits d’impôts exceptionnels aux entreprises investissant dans le cinéma.
Cette conférence présidée par Mr Hakim Ben Hamouda, ancien ministre de l’économie et des finances de Tunisie, verra la présence de grands
spécialistes du financement du cinéma et présentera des expériences réussies dans d’autres pays.
Nous verrons en particulier l’expérience de la Belgique qui grâce à son tax shelter a réussi à décupler sa production cinématographique
en moins de 15 ans. Nous aurons aussi les témoignages de producteurs ayant profité de ce types de mécanismes et l’expérience du ministère
des finances belge avec des chires concrets sur les retombés en termes de ressources financières pour l’Etat Belge.
09h00 : CHABAKA (pitching) Salle Zambèze 2
09h30 : Conférence Tax Shelter Cité de la culture Salle des jeunes créateurs.
09h30 : TAKMIL ( Projection des copies de travail + débat) Hôtel L'Africa salle Mont Kenya.
09h30 : Forum Latino Arabe CNCI Cité de la culture Sophie El Gouli 11h00 : Projection Prison Borj Roumi / Bizerte Scène 1
11h : Tarak Maatoug (Saxophone) Scène 2
13h : Souhir Arous (Kanoun) Scène 3
5h : Rami Guouguech (Accordéon)
Ciné-avenue :
16h : Film 1
18h : Film 2
14h30 : Forum Latino Arabe CNCI Cité de la culture Sophie El Gouli
14h00 : Produire au Sud CNCI Cité de la culture Sophie El Gouli
Projection du film "Massir" réalisé par le feu Youssef Chahine à 17h et ce à l'avenue Habib Bourguiba en la présence de l'actrice égyptienne
Laila Aloui ainsi que le directeur général des jcc Nejib Ayed
18h00 : Opening Focus Sénégal Salle de Cinéma Africa
20h00 : Troupe Rosa Do Cavaco (Av.Bourguiba) Brésil (Av. Bourguiba)
20h30 : Opening Focus Inde Salle de cinéma Africa
Treize films de neuf pays rivalisent pour le "Tanit long métrage 2018" des Journées Cinématographiques de Carthage, témoin du retour des pionniers Merzak
Allouache, Mahmud bin Mahmoud et Abbas Fadhel et ouvrant la porte aux jeunes expériences prometteuses de Meriam ben Moubarak, Abu Bakr Shawky,
Machérie EKWA BAHANGO également assistent les cinéastes de 2018 et dans les JCC africains et arabes avec des expériences différentes comme Mohcine Besri,
Joud Said, Likarion Wainaina, Wanuri Kahiu, Joel Karekezi et les tunisiens Nejib Belkadhi et Mohammed Ben Attia.
Pour l’édition 2018 des JCC, la Tunisie participe à trois longs métrages, le Maroc et le Kenya participent avec deux longs métrages, tandis que le reste
est constitué d’œuvres cinématographiques arabes et africaines.
Dans la jungle du "Kivu" au Congo, le sergent Xavier, le héros de la guerre, Rwandaise et le soldat Faustin, qui n'a aucune expérience, se trouvent sur
le territoire ennemi. Xavier et Faustin perdent tous les membres du bataillon et restent seuls sans provisions, dans la jungle congolaise la plus dangereuse
du monde. Ces événements seront vus par le public des JCC 2018 dans le film "La miséricorde de la jungle" dans la première projection afro-arabe de la
compétition officielle pour les longs métrages.
Dans ce film, Joel Karekezi continue à soulever les problèmes brûlants de l'Afrique qui ont été présents depuis son premier court métrage "Le Pardon".
Dans la compétition officielle de long métrage des JCC 2018 participe également le film "Laziza" dans sa première mondiale, au cours de laquelle la présence
de la mère est mise en évidence encore une fois dans le travail de la biographie du réalisateur Mohcine Besri, producteur du "Les Mécréants " le film qui
a remporté de plus d'un prix, y compris le Naguib Mahfouz Award pour le meilleur film arabe dans le Festival international du film du Caire.
Machérie Ekwa Bahango a rencontré plusieurs personnages sur son chemin, qui l’ont motivé à franchir le pas et à écrire sa première longue expérience narrative
des enfants de la rue "MAKI’LA".
Le film de Machérie Ekwa Bahango de la République démocratique du Congo a présenté sa première projection dans "Berlinale" représente la vie de "MAKI’LA",
une jeune fille de 19 ans qui a vécu dans la rue depuis l'âge de 13 ans, marié à Mbingazor, un caïd albinos qui l’a initiée à la vie de la rue : drogue,
prostitution, vol... mais bientôt, leur relation basée sur l’exploitation et la violence tourmente MAKI’LA qui se sent prisonnière. Elle décide de quitter
Mbingazor.
Le courant social africain tourne aussi autour des événements du film "RAFIKI", le premier film kenyan choisi pour participer au Festival de Cannes 2018,
dans la section ‘’un certain regard’’, qui aboutit à un partenariat entre les pays du Sud (une co-production entre le Kenya et l'Afrique du Sud).
"RAFIKI" interdit de projection au Kenya (projection pendant une semaine seulement avec l'autorisation judiciaire afin qu'il puisse rivaliser pour
les nominations aux Oscars) traite les relations sexuelles dans une société kényane conservatrice.
Ce film est inspiré du roman "Jambula Tree" de l'écrivain ougandaise Monica Arac, réalisé par Wanuri Kahiu, dont le premier court-métrage "Pumzi" a
remporté le Tanit d’argent de courts métrages aux JCC 2010 et a été projeté au Sundance Cinema et a remporté le premier prix en Le Festival du film
indépendant à Cannes et le prix "Citta di Venezia" à Venise 2010.
Lotfi, qui habite à Marseille, est contraint de revenir en Tunisie pour prendre soin de son fils autiste. Il s'agit de l’histoire d'un homme qui a perdu
des liens et cherche à les restaurer dans un roman social et humain qui nous le présente le réalisateur de "Bastardo" le cinéaste tunisien Nejib Belkadhi
dans son quatrième film, "Regarde-moi", qui a fait sa première projection mondiale à la 43ème édition du Festival international du film de Toronto.
Le cinéaste algérien Merzak Allouache, qui a déjà obtenu le Tanit d'or à deux reprises ( "Omar Guetlato" 1978 et "Salut cousin " 1996), revient aux Journées
Cinématographiques de Carthage 2018 avec un film noir et blanc "Vent Divin" dans lequel il explore la psychologie perturbée d’Amine, un jeune homme taciturne
vivant dans un petit village saharien où il passe le plus clair de son temps à la lecture du Coran et à la prière avant de rencontrer Nour, une jeune djihadiste.
Le Maroc rivalise avec un deuxième film pour la compétition officielle Longs Métrages de Fiction par le film “SOFIA” primé au Festival de Cannes 2018 avec
le prix du scénario pour la section “Certain Regard" réalisé par Meryem Ben M’barek, la réalisatrice du court-métrage “Jennah" sélectionné pour l’Oscar 2015.
Sofia, 20 ans, vit avec ses parents à Casablanca. Suite à un déni de grossesse, elle se retrouve dans l’illégalité en accouchant d’un bébé hors mariage.
L’hôpital lui laisse 24 pour fournir les papiers du père de l’enfant avant d’alerter les autorités…
À son tour, le Kenya est en concurrence avec un deuxième film, le candidat pour l’Oscar 2019 " SUPA MODO”. Le film raconte l’histoire d’une petite fille en phase
terminale vit le reste de sa courte vie en tant que superhéros grâce à sa famille et son village.
Ce film, qui a été présenté pour la première fois à la 68ème édition du Festival du film de Berlin, a été réalisé par Likarion Wainaina, le cinéaste, dont le court
métrage "Between The Lines" a été le premier film kenyan à être diffusé sur la chaine IMAX au Kenya et nominé pour le AMVCA 2015
(Africa Magic Viewers Choice Awards) et a été choisi comme le meilleur court métrage programmé dans Festival de Cannes 2016.
Le deuxième film tunisien sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages fictions JCC 2018, est le film Mohamed ben Attia "Mon Cher Enfant "...
Le réalisateur du film primé du prix “Première œuvre” de "Berlin 2016" pour le film "Hedi, un vent de liberté" a choisi d'aborder l'extrémisme religieux et
la souffrance des parents après le décervelage de leur fils et de perdre leur symbole d’avenir jamais.
La projection de "Mon Cher Enfant" aux JCC 2018 viendra après une première projection mondiale dans la "Quinzaine du réalisateur" au Festival de Cannes et une
tournée de festivals internationaux dont Le Festival du Film El Gouna, auquel le film a remporté le prix du “meilleur acteur” ainsi que le grand prix du Festival
du Film Méditerranéen à Bastia, France.
Le film irakien "Yara ", qui était le seul film arabe dans la compétition officielle du Festival international du film de Locarno, a été réalisé par Abbas Fadhel,
qui a déjà participé aux prix Tanit avec les films "Retour à Babylone" en 2002, "Nous les Irakiens " en 2004 et "Homeland / Irak Année Zéro " en 2015.
Son dernier film a obtenu le Tanit d’argent de la compétition officielle long-métrage documentaire.
Les scènes humaines dominent le premier long métrage de Abu Bakr Shawky, "YOMEDDINE". Un lépreux, un orphelin nubien et leur âne quittent pour la première fois
les confins de la colonie de lépreux et parcourent l’Égypte à la recherche de leur foyer, de leur famille et de leur
acceptation par eux.
"YOMEDDINE" est un film sur les minorités marginalisées en Egypte, a participé à la Palme d'or du Festival de Cannes 2018 et a remporté le prix de "François Chalet".
Le troisième film tunisien de la compétition officielle longs métrages de fiction est "Fatwa", la nouvelle œuvre de Mahmoud Ben Mahmoud, qui traite
l'extrémisme religieux en Tunisie.
"Fatwa", Brahim Nadhour, un Tunisien installé en France, rentre à Tunis pour enterrer son fils mort dans un accident de moto. Il découvre que le jeune Marouane
militait au sein d’un groupuscule islamiste radical. Brahim décide de mener son enquête pour comprendre les raisons de sa radicalisation et identifier
les personnes qui l’ont endoctriné.
Pour la quatrième fois, Joud Said revient aux JCC, et avec cette nouvelle édition 2018, le cinéaste syrien présente le film “Le voyage inachevé" dans sa
première projection mondiale, après un premier court métrage, puis deux longs métrages, "Once Again" et "La pluie de Homs" dans la compétition officielle
du Festival.
“Le voyage inachevé”, Baha’a se prépare à quitter la ville d’Alep, déchirée par la guerre, pour retourner dans sa ville natale, avec d’autres voyageurs,
étrangers les uns aux autres . Il devront s’arrêter à cause des combats en cours. Ils vont tenter de ramener à la vie un village détruit en attendant
la fin de la guerre. Finira-t-elle un jour ?
Une conférence de presse s’est tenue aujourd’hui, mercredi 31 octobre 2018 à la cité de la culture Tunis à la salle ‘’Taher Cheriâa”,
afin d’annoncer le programme de la 4ème édition des JCC Prison, qui se déroulera du 4 au 9 novembre 2018. La conférence a été marqué
par Mr Néjib Ayed, le directeur des Journées Cinématographiques de Carthage 2018, Sofiene Mezghich, le porte-parole des Prisons
et de la Rééducations et Mme Gabriele Reiter, la directrice du bureau de Tunis de l’OMCT (Organisation Mondiale Contre la Torture).
Durant cette conférence, Mr Néjib Ayed, directeur général des JCC 2018, a révélé les critères de sélection des films des JCC 2018,
qui sont fixés par un comité composé de trois parties organisatrices du Festival, et dans ce contexte, en soulignant la richesse
et l'efficacité de cette expérience tout en remerciant Mr Ibrahim Letaief pour cette initiative, qui a vu le jour durant les JCC 2015.
Quant à Mr Sofiane mezghiche, le porte-parole de l'administration générale des prisons et de la rééducation, a déclaré que le Festival devrait
atteindre 1 800 détenus dans les prisons tunisiennes.
Mme Gabriel Reiter, directeur du Bureau de Tunis de l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT), a félicité l'interaction des JCC et
de l'administration générale des prisons et de la rééducation avec des initiatives associatives, qui soutiennent les droits et les libertés
en déclarant que “priver les prisonniers de leur liberté ne signifie pas les priver de leurs droits culturels”.
Chers collègues,
Ci-dessous le programme des films tout au long des JCC 2018
BON JCC!
Savoir plus
Chers collègues
Nous vous informons qu'à partir du 2 novembre 2018, le Media Centre International ouvrira ses portes au 16 avenue Ibn Khaldoun,
2ème étage en vue de vous accueillir et de faciliter travail pendant des JCC.
Les consœurs et confrères dont les accréditations ont été validé mais qui n’ont toujours pas retirer leurs badges, sont priés de se
présenter le vendredi 2 Novembre 2018, de 10h à 18h.
Si vous n'êtes pas disponible, un collègue pourra récupérer votre badge à votre place.
Bon JCC!
Accréditation/Renseignements
Les journalistes et médias accrédités auprès des Journées Cinématographiques de Carthage 2018
peuvent récupérer leur documents de travail au Média Centre International situé à la Maison de la
Culture Ibn Khaldoun Tunis, 2 ème étage.
Savoir plus
Suite à la vile attaque perpétrée lundi 29 Octobre 2018 au cœur de Tunis, Néjib Ayed et le comité d’organisation des Journées Cinématographiques de Carthage condamnent avec la plus grande virulence l’acte terroriste et lâche qui a visé Tunis, à quelques jours de l’ouverture des JCC.
A l’image de la Tunisie, les JCC, lieu de liberté et de résistance ne plieront pas devant les porteurs de projets obscurantistes et fidèles à leurs convictions continueront à clamer haut et fort que seule la culture est un rempart infranchissable contre l’ignorance et les entreprises mortifères.
Le terrorisme aujourd’hui est un phénomène global et malheureusement personne n’est à l’abri.
Mais le festival aura lieu et célébrera les valeurs de tolérance, d’ouverture et de la vie face au nihilisme.
Couverture des JCC dans les prisons
Invitation
Cher(e)s collègues
Cher(e)s collègues des différents médias nationaux et internationaux,
A l’occasion des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) dans les prisons du 04 au 09 novembre 2018, une rencontre avec les journalistes, s’organise le 31 octobre 2018 à 11h à la cité de la culture (salle Taher Chriaa) avec la participation d’Ilyes Zalleg, directeur général de la Direction Générale des Prisons (DGPR), Najib Ayad, directeur des JCC et Gabriele Reiter, directrice bureau Tunisie de l’OMCT.
Au programme :
NB : pour tous les journalistes qui souhaitent couvrir les projections des films merci de ramener une copie de votre CIN ou une copie de votre passeport pour les journalistes étrangers. Nous comptons sur votre présence
Chers collègues
Le bureau de presse des JCC vous informe que la période de remise des badges 2018 est prolongée, les vendredi 26 et samedi 27 octobre.
Les horaires de remise des badges sont les suivants.
Vendredi 26 entre 10h du matin et 18h et samedi 27 de 10h à 14h.
Lieu : la cité de la culture (au box du côté de la sortie arrière côté parking du distributeur de café.
Cher(e)s consœurs et confrères
Néjib Ayed, Directeur Général des Journées Cinématographiques de Carthage a le plaisir de vous convier à la conférence de presse de l’édition 2018,
le mercredi 17 octobre 2018 à 10 h, au " théâtre des Jeunes Créateurs” à la Cité de la Culture, avenue Mohamed V, Tunis.
Les Journées Cinématographiques de Carthage 2018, se tiendront du 3 au 10 novembre 2018.
Le Directeur Général des Journées Cinématographiques de Carthage, Nejib Ayed annonce la liste des projets sélectionnés dans le cadre de l'atelier TAKMIL 2018, de la plate-forme professionnelle des JCC, Carthage PRO.
Liste des projets sélectionnés :
L'Atelier « TAKMIL » qui se tiendra les 5, 6 et 7 Novembre 2018, accueille des films de fiction et documentaires, africains et arabes, en phase de postproduction.
Les cinéastes et producteurs sélectionnés seront invités à Tunis et rencontreront des professionnels de l'industrie cinématographique internationale pour présenter leurs films à un jury. Des bourses d'aide à la finition seront attribuées aux lauréats
Le Directeur Général des Journées Cinématographiques de Carthage, Mr Nejib Ayed annonce la liste des projets sélectionnés dans le cadre de l’atelier CHABAKA 2018, de la plate-forme professionnelle des JCC, Carthage PRO.
Liste des projets sélectionnés :
L’Atelier « Chabaka » qui se tiendra les 5, 6 et 7 Novembre 2018, accueille des projets de films de fiction et documentaires,
africains et arabes, en phase de développement.
Les participants seront invités à Tunis pour rencontrer des professionnels de l’industrie
cinématographique internationale et présenter leurs projets face à un jury.
A partir de cette année, des bourses d’aide au développement seront attribuées aux lauréats.
Le comité directeur des Journées Cinématographiques de Carthage vous informe que la liste des films tunisiens sélectionnés par des jurys indépendants pour participer aux compétitions officielles de l’édition 2018 est comme suit :
Longs Métrages de Fiction
Courts Métrages de Fiction
Longs Métrages Documentaires
Courts Métrages Documentaires
Ces films ont été choisis parmi 61 films, entre fiction et documentaire, long et court métrage, présentés au festival.
Nous rappelons que les Journées Cinématographiques de Carthage 2018, se tiendront du 3 au 10 novembre 2018.
La Session 2018 des Journées cinématographiques de Carthage a introduit une nouvelle section « FOCUS »
qui met en avant chaque année, quatre pays représentant l’Afrique sub-saharienne, le monde arabe, l’Asie et l’Amérique
latine redonnant au festival sa dimension tricontinentale, voulue lors de sa fondation, confirmant ainsi sa vocation de festival du Sud.
Savoir plus